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La journée mondiale des animaux est le 4 octobre

Les animaux sont célébrés chaque année le 4 octobre lors de la journée mondiale dédiée à leur cause. Cette journée vise à sensibiliser citoyens et gouvernements sur l’importance du traitement et de la protection des animaux d’élevage et sauvages. Elle souligne également le lien étroit entre la protection des espèces animales et celle de notre planète. L’origine de cette journée remonte au Congrès international pour la protection des animaux, tenu à Vienne en 1929, où l’idée fut proposée pour la première fois, et par la suite, la journée mondiale des animaux fut établie.

Le 4 octobre est instauré comme la journée mondiale des animaux. Cette date correspond à la journée de Saint-François d’Assise, fondateur de l’ordre des Franciscains et Saint Patron des animaux, surnommé « le Saint aux oiseaux » en raison de son amour pour ces créatures. Il est célèbre pour ses efforts en faveur de la protection animale.

Aujourd’hui, l’ONU s’implique activement dans la sensibilisation du public à cette cause, mettant en lumière les maltraitances et souffrances subies par les animaux, qu’ils soient sauvages ou domestiques. Les formes de cruauté évoquées comprennent l’ablation de membres ou organes, les sports hippiques ou équestres, la tauromachie, la violence, et la collecte de poils ou de plumes, entre autres. La question animale est désormais au cœur de l’actualité, portée par des enjeux tels que le réchauffement climatique, la déforestation, la dégradation de la biodiversité, et l’exploitation excessive des ressources naturelles. La protection des animaux est intrinsèquement liée à celle de notre planète, pour aujourd’hui et pour l’avenir. De nombreuses associations militent pour le respect des animaux et la préservation de l’environnement. La journée mondiale des animaux représente également une opportunité de réfléchir à l’amélioration des conditions de vie des animaux domestiques et à l’abattage des animaux.

L’initiative de cette journée revient à Heinrich Zimmermann, un activiste allemand de la cause animale et éditeur du magazine Mensch und Hund. Elle a été proclamée internationale le 8 mai 1931, lors du Congrès international pour la protection des animaux en Italie, avant de fixer la célébration au 4 octobre, en l’honneur de Saint François d’Assise. Pour marquer cette journée, les actions peuvent être simples : promener son chien, jouer avec son chat, offrir une friandise à son animal, ou encore sortir son lapin de sa cage. C’est aussi un moment propice pour souscrire à une assurance santé pour son chien ou son chat, si cela n’est pas déjà fait. Le « comparateur chien et chat » présenté sur le site mentionné aide à trouver rapidement l’assurance santé offrant le meilleur rapport qualité-prix en termes de cotisations et de couverture.

La France a signé la Convention européenne pour la protection des animaux de compagnie en 2004. Ce traité international, élaboré sous l’égide du Conseil de l’Europe, est conçu pour améliorer la protection et le bien-être des animaux domestiques. Il aborde plusieurs aspects clés :

  • La définition précise de ce qu’est un animal de compagnie.
  • Le cadre réglementaire concernant le commerce, la possession et l’utilisation des animaux de compagnie.
  • L’interdiction des interventions chirurgicales pour des raisons esthétiques ou de convenance, à l’exception de celles jugées nécessaires par un vétérinaire pour des raisons de santé.
  • Les conditions spécifiques relatives à l’euthanasie des animaux, visant à assurer une fin de vie digne et sans souffrance.
  • Des mesures destinées à contrôler et réduire le nombre d’animaux errants.
  • La mise en place d’un âge minimum de 16 ans pour l’acquisition d’un animal de compagnie, afin de s’assurer de la responsabilité des propriétaires.

Cette convention illustre l’engagement des pays membres vers une meilleure prise en charge des animaux domestiques, en interdisant leur torture, leur abandon, et en améliorant les conditions de vie, notamment :

  • Les conditions d’hygiène et de traitement dans les abattoirs.
  • Le renforcement des contrôles sanitaires pour prévenir les maladies et assurer le bien-être animal.
  • La modernisation des équipements et des pratiques dans le secteur de l’élevage et de la garde d’animaux.

En complément, la législation française et européenne continue d’évoluer pour renforcer la protection des animaux, à travers des lois nationales et des directives européennes, assurant ainsi un cadre légal solide et en constante amélioration pour le bien-être animal.

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